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Tout ce qui arrive arrive par l’escalier

17 Mar - 16 Avr 2011
Vernissage le 17 Mar 2011

Procédant par décalages, glissements, déplacements, Julie Béna détourne des images et des objets quotidiens. Ils deviennent peu à peu les sujets de multiples fictions, étranges et poétiques.

Communiqué de presse
Julie Béna
Tout ce qui arrive arrive par l’escalier

L MD galerie présente «Tout ce qui arrive arrive par l’escalier», la première exposition personnelle de Julie Béna. Des épaves réapparaissent à la surface, des mouchoirs se transforment en monuments, un faisceau lumineux surgit au milieu des nuages…

Procédant par décalages, glissements, déplacements, Julie Béna détourne des images et des objets quotidiens. Ils deviennent peu à peu les sujets de multiples fictions, étranges et poétiques.

A travers l’installation, la photographie, la vidéo, le son ou la performance, l’artiste explore le moment de la transition, à l’image du passage séparant la nuit de la tombée du jour. Cet équilibre ténu révèle ce qui ne se voit pas au premier regard, ce qui se joue dans un moment d’attente, ce que provoque le hasard imperceptiblement.

Le choix des titres participe à ce détournement du sens vers la narration: A bientôt, Quand elle n’attendra plus ce sera fini…, Hélas hélas. Mais ces probables récits ne sont jamais vérifiables. Ils rejouent la réminiscence, souvenir vague ou incomplet, difficile à localiser, dans un «ici et maintenant».

Pour l’exposition «Tout ce qui arrive arrive par l’escalier» à la L MD galerie, l’artiste met en scène des captations du réel, des éléments issus de ses voyages, qui évoquent des contrastes, des variations, des frontières. En composant à partir de formes et de matières banales, Julie Béna produit des récits inattendus, qui nous laissent penser que rien n’est figé, qu’il reste encore des espaces de dérive.

Project room
Julien Pastor, «ABC»
Le travail de Julien Pastor procède d’une expérience sensible de son environnement. Constructions, dessins, collages ou photographies, constituent une Å“uvre qui déborde le territoire spécifique dont elle est issue. C’est à partir de rencontres fortuites d’objets, d’architectures ou d’événements auxquels Julien Pastor associe les imaginaires qui l’agitent que se développe sa production. Celle-ci tente de faire partager une approche du monde où les espaces (physiques et imaginaires) s’interpénètrent révélant ainsi la complexité de notre environnement. Plusieurs questionnements récurrents fondent ainsi sa pratique: la reproduction, le hasard, la mobilité des formes et la transdisciplinarité.

Si la pratique de Julien Pastor s’ancre le plus souvent dans l’univers de la construction urbaine, elle ne se limite pas à un sujet. Le travail plastique, pour lui, est une expérimentation permanente aussi bien formelle que contextuelle visant à la constitution d’un langage personnel.

Les éléments proposés dans le cadre de l’exposition à la L MD galerie ont été créés hors d’un contexte spécifique. Il y est question de couleur, de langage et d’objet. Ces trois notions renvoient ainsi à l’intitulé de l’exposition comme éléments d’un vocabulaire plastique en devenir.

Vernissage
Jeudi 17 Mars 2011. 18h.

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