Communiqué de presse
Zilvinas Kempinas, William Wegman, Albert Tucker, Andres Serrano, Jannis Kounellis, Alberto Giacometti, Oleg Kulik, Berlinde de Bruyckere, Jake and Dinos Chapman, Robert Gober
Théâtre du monde
Pour sa dixième exposition de collection particulière, la Maison Rouge invite le collectionneur David Walsh, fondateur du Mona (Museum of Old and New Art) en Tasmanie et du Tasmanian Museum and Art Gallery (TMAG). Puisant dans la collection personnelle de David Walsh, en même temps que dans la collection du Tasmanian Museum and Art Gallery (TMAG), Jean-Hubert Martin met en regard des objets a priori «hétérogènes», en remettant en question les conventions muséologiques usuelles.
Intitulée «Théâtre du monde» en référence aux travaux menés pour François Ier par Giulio Camillo sur le théâtre et la mémoire, l’exposition a l’ambition de suggérer de nouvelles pistes de lecture en réaction au discours historique courant, faisant de l’œil un instrument actif d’investigation et de compréhension du réel.
«Théâtre du monde» est une exposition dans laquelle se mêlent des pièces extra occidentales (une salle entière sera consacrée à une exceptionnelle collection de tapas océaniens), des éléments de cabinet de curiosités, des antiquités, de l’art ancien et des œuvres d’artistes contemporains parmi lesquels, Marina Abramovic, Berlinde de Bruyckere, Jake & Dinos Chapman, Wim Delvoye, Emily, Damien Hirst, Zilvinas Kempinas, Iannis Kounellis, Juul Kraijer, Sidney Nolan, Claude Rutault, Markus Schinwald, Jason Shulman, Felice Varini, Sandra Vásquez de la Horra, Erwin Wurm, Ah Xian.
L’exposition établit des relations de forme ou de sens en harmonie ou en contrepoint entre ces œuvres provenant d’horizons différents. Sont ainsi mises au jour des correspondances inattendues, dévoilées à travers une série de thématiques telles que le regard, le corps, le double, la guerre, etc. Une salle entière est consacrée à une exceptionnelle collection de tapas polynésiens et mélanésiens du Tasmanian Museum and Art Gallery.
Vernissage
Vendredi 18 octobre 2013 Ã 18h
critique
Théâtre du monde