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The Aesthetics of Risk — SoCCAS Symposium Volume 3

Les actes de ce 3e symposium du Southern California Consortium of Art Schools du J. Paul Getty Museum sont consacrés à l’esthétique du risque, de l’art de la performance à Berlin dans les années 60 à la résistance culturelle face à la société néo-libérale.

Information

Présentation
Sous la direction de John C. Welchman
The Aesthetics of Risk — SoCCAS Symposium Volume 3

Edité et présenté par John C. Welchman, The Aesthetics of Risk est basé sur le 3e symposium organisé par le Southern California Consortium of Art Schools (SoCCAS) au J. Paul Getty Museum.

La notion de risque est abordée sous différents angles : la relation entre risque et modernité d’un point de vue général (John C. Welchman et Gerda Reith) ; l’occupation des territoires au Moyen-Orient comme étude de cas (Neve Gordon et Dani Filc) ; les films d’Andy Warhol (Douglas Crimp) ; les stratégies d’un militantisme contemporain (Keiko Sei et Chris Hill, Critical Art Ensemble) ; le contexte social et esthétique des performances artistiques en Grande-Bretagne (Chrissie Iles) et aux Etats-Unis (Jane Blocker) ; les expérimentations vidéo au Brésil dans les années 1970 (Elena Shtromberg)…

Le livre contient également un entretien entre Catherine Opie, Brock Enright et Paul McCarthy, un texte d’Henry Flynt et des interventions sur Barnett Newman, Bridget Riley et Richard Serra (Richard Shiff), sur la scène artistique actuelle à Mexico (Gabriela Jauregui) et sur la technologisation de la gestion du risque (Jordan Crandall).

Extrait de l’introduction de John C. Welchman (en anglais)

«This book collects 16 essays and conversations about the nature and consequences of risk in and out of the art world, beginning with the premise that the modern subject is caught up in an ever-expanding network of predictive and proactive stratagems for the management of risk.

We are heirs to radical transformations in the natural and social sciences engendered by the development of quantitative ideas of chance and the rise of probability theory and its promiscuous alliances with law, medicine, political statistics, and polling-and numerous other disciplines; and involuntary parties to the model-based predictive orchestration of the world of events.

For, in addition to being subjects of the spectacle, we are also hyper-actuarialized citizens, under-written, over-ridden, speed-bumped, over-drawn, and not occasionally maxed out by the hydra-headed nooses of fiscalized social control that snatch the administration of risk away from us.»

Diffusion : Les Presses du réel