Communiqué de presse
Isabelle Arthuis, Gabriele Basilico, Katharina Bosse, Sonja Braas, Tere Recarens, Magdi Senadji
Sur la bonne pente
Isabelle Arthuis, née en 1969 au Mans, France vit et travaille à Bruxelles, Belgique
Pour sa première participation à une exposition à la galerie Anne Barrault, Isabelle Arthuis présente, en résonance avec son exposition à Friart (Suisse), un ensemble de photographies noir & blanc et rose & rouge réalisées au Brésil.
Gabriele Basilico, né en 1944 à Milan, Italie vit et travaille à Milan. Il présente des photographies réalisées en 2003 dans la région de Trentino (Italie), illustrant le combat entre l’urbanisation et la montagne.
Katharina Bosse, née en 1968 à Turku, Finlande, vit et travaille à Bielefeld, Allemagne. Elle présente une photographie intitulée Camp Ground extraite de la série Realms of Signs, realms of Senses. Trois tentes sont plantées dans un intérieur éclairé au néon, refuge de montagnes ou show room du Vieux Campeur ?
Sonja Braas, née en 1968 à Siegen, Allemagne, vit et travaille à New York. Elle présente des œuvres récentes pour la première fois exposées en France. À l’opposé de son précédent travail, Sonja Braas illustre la puissance de la nature. Les situations sublimes apparaissent comme si l’appareil photo avait été installé en leur sein. Sonja Braas réussit à exprimer visuellement, presque de façon audible, l’énergie que ces drames sauvages, naturels dégagent.
Tere Recarens, née en 1967 en Espagne, vit et travaille à Berlin
Cette artiste catalane, pour sa première participation à une exposition à la galerie Anne Barrault, présente une vidéo où l’on découvre un personnage dans les airs en train de balayer les nuages.-
Magdi Senadji (1950-2003, France). Une photo extraite du livre Facile réalisé en 1990, dans lequel Bernard Lamarche-Vadel écrivait de Magdi Senadji, «sa devise semble être de demeurer égal, patient, distrait, élégant pour que tout ait puissance d’apparaître dans sa puissance propre, puissance d’apparaître d’abord et aussi disparaître, pourvu que l’on puisse l’album refermé être les yeux clos en savourant que c’était aimable parce que c’est la patience admirable de sa vérité».