Strawberry Fields Forever

Communiqué de presse
Maike Abetz et Oliver Drescher
Strawberry Fields Forever
Let me take you down, ‘cause I’m going to Strawberry Fields. Nothing is real and nothing to get hungabout. Strawberry Fields forever.

«Ils étaient si adulés que l’intensité devint chez eux comme une seconde nature»
Cette citation fabuleuse semble directement tirée d’un conte de fées, un conte de fées que l’on vivrait au quotidien. Après tout, ne les appelait-on pas les «Fab 4», et le conte ne devient-il pas réalité quand il est à la fois exprimé et vécu comme ce fut le cas pour les Beatles? Cela semble être aussi le cas des oeuvres de Maike Abetz et Oliver Drescher qui semblent elles aussi, tout droit sortir d’un univers de conte moderne. Les deux artistes deviennent l’expérience extérieure d’une sensibilité auditive qui fusionnent à tel point grâce à leur deux individualités qu’elle finit par révéler des sens cachés à leur imagination visuelle. Pour ces peintres, l’inspiration auditive est devenue petit à petit le personnage familier d’une musique au caractère affectif. (…)
De manière plus précise, les peintures d’Abetz/Drescher ressemblent à des chansons d’amour pop, sorte d’Air Guitar picturales qui s’emplissent des résonnances de la musique au moment de la confection du tableau. «Chacun sait que le pouvoir des chansons d’amour transcende toujours notre capacité critique à les juger», explique le critique d’art américain Dave Hickey.