Communiqué de presse
Depuis la prise de fonction de M. Gonçalvès, en septembre 2010, et l’élaboration d’une programmation populaire et exigeante, l’établissement accueille un public élargi (plus de 500 000 spectateurs et visiteurs des activités proposées et hors clientèle des commerces et passants) et compte désormais parmi les lieux artistiques et culturels les plus fréquentés de la capitale (avec une moyenne mensuelle de plus de 40 000 visiteurs). Il incarne aujourd’hui un lieu de création artistique et d’expérimentation sociale, véritable abri esthétique d’envergure internationale.
Le projet est conçu par José-Manuel Gonçalvès comme une plateforme collaborative ouverte aux affinités artistiques avec les établissements culturels et au bénéfice de toutes les formes d’art. Chaque année, ce sont plus de 380 équipes artistiques en résidence qui assurent les trois quarts de la programmation (plasticiens, musiciens, danseurs, comédiens) complétée par les artistes accueillis en (re) présentations. Soit plus de 3000 artistes à chaque saison depuis 2010.
Soucieux de faire dialoguer les sphères de l’art et de l’entreprise, l’établissement, sous l’impulsion de son directeur, a mis en place un programme ambitieux d’actions entre les entrepreneurs, les créateurs et les chercheurs qui œuvrent à la promotion, de «l’innovation par la création, et à la création par l’innovation». Le Centquatre encourage ainsi l’émergence d’idées originales, l’expérimentation et la diffusion de projets innovants, en collaborant avec le monde de la recherche en art par le biais de son incubateur et soutient l’accueil de manifestations d’envergure, notamment liées aux arts numériques et au rapprochement du domaine de la création et de celui l’innovation.
Situé dans l’un des quartiers les plus cosmopolites et populaires de la capitale, le Centquatre inscrit son action au cœur de son territoire, en développant une action large et durable en direction de nombreux partenaires (associations, centres sociaux et établissements scolaires notamment).
Il propose également des actions originales autour de l’usage des espaces ouverts «aux pratiques spontanées» qui en font «le seul open space artistique» qui accueille les danseurs hip-hop, circassiens, comédiens, architectes, et autres pratiques artistiques. Ces pratiques se combinent dans un temps et un espace commun avec les autres activités de création artistique professionnelle et les activités économiques telles les défilés et autres salons. Ceci fait du Centquatre un véritable «lieu du tout-monde» pour reprendre les termes chers à Édouard Glissant, une cité créative et apaisée dans la cité.
parisART sur Instagram