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Petits formats

12 Fév - 13 Mar 2004

Des gouttes d’eau peintes recouvrent des éléments calligraphiés issus de la tradition classique chinoise. La vue de ces œuvres repose les sens.

Communiqué de presse
Kim Tschang-Yeul
Petits formats

Kim Tschang-Yeul, né en Corée, se démarque et s’oppose aux techniques des grands expressionnistes abstraits. Une sorte de réponse qui permet à KIM d’élaborer de nouvelles voies pour la peinture, par la remise en question de la technique, c’est-à-dire le «procédé et le tableau».
La recherche phénoménologique de Kim Tschang-Yeul le conduira au début des années 70, à intégrer à son œuvre une «idée mère», transposée dans un élément code: la goutte d’eau. Cet élément va occuper une place prépondérante dans son œuvre, car la technique et le style évolueront en gardant ce vecteur immuable.
Une goutte d’eau qui apparaît dans une synthèse des traditions picturales occidentales et asiatiques, car elle nous est présentée plus vraie que le réel, dans une transparence (et un rapport au support), qui est le reflet de l’espace environnant, mais aussi au-delà.
Cette goutte d’eau «reposant » sur la toile mêlée à des éléments calligraphiés issus de la tradition classique chinoise, instaure un rapport plus important de la relation extérieur- intérieur, par son altérité.
C’est une représentation du réel, dans sa perfection, pour nous montrer l’immatériel, dont les recherches de Kim Tschang-Yeul, picturale, plastique voire «philosophique», tendent à une meilleure connaissance de soi-même et du monde.

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