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Pékin, métamorphoses d’une ville impériale

08 Juin - 26 Sep 2009
Vernissage le 09 Juin 2009

L’humain est au centre des photographies de Jean-Lionel Dias. Elles se situent toujours en milieu urbain dans lequel les habitants deviennent tout à la fois acteurs et spectateurs de leurs photographies.

Communiqué de presse
Jean-Lionel Dias
Pékin, métamorphoses d’une ville impériale

La Maison de la Chine et Jour et Nuit galerie présentent les photographies couleur de Jean-Lionel Dias.

Jean-Lionel Dias dévoile au travers de ses clichés les visages quotidiens de la capitale chinoise, ceux du jour comme de la nuit, de cette ville impériale et cosmique voulue par l’empereur Yongle, remodelée par la volonté de Mao, emportée par le boom économique actuel.

L’humain est au centre de ses photographies et les projets artistiques qu’il réalise se situent toujours en milieu urbain dans lequel les habitants deviennent tout à la fois acteurs et spectateurs de leurs photographies.

Après des études de Lettres, c’est en 1997 qu’il part vivre à Dublin et qu’il découvre la photographie. De retour en France, il entame une formation à Icart-Photo d’où il sort major en 2001 avec un travail sur l’Irlande du Nord et particulièrement sur Belfast.

En même temps, il assiste le photographe Américain Louis Stettner. L’humain est au centre de sa photographie, ses sujets nous emmènent à travers différentes villes et cultures de Miami à Moscou en passant par Dakar. En France, il collabore en 2002 avec le collectif « A part ça ? » à des projets artistiques pluridisciplinaires dans la ville où l’habitant devient l’acteur et le spectateur de sa photographie.

La même année, il se rend en Serbie-Montenegro et travaille sur l’après Milosevic, mêlant portraits et paysages urbains. En 2004 il est l’un des fondateurs du collectif « Le Carton » et s’attache à faire vivre ce lieu d’échange et de créativité.

Son terrain de jeu se trouve partout ou il décide de poser son regard et son appareil, il peu s’amuse a isolé des bâtiments dans la nature, sorte de vestiges ou de monument fantôme abandonné par les hommes ou bien s’arrêter sur de simple scène de vie.

Son soin de l’esthétisme nous emmène dans un univers souvent irréel, mais qui témoigne pourtant parfois des abus de notre civilisation.

Vernissage
Mardi 9 juin à partir de 19h.

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