Olaf Breuning et Lily van der Stokker
Olaf Breuning et Lily van der Stokker
«Queen Mary» d’Olaf Breuning
Loin des effets spéciaux, fumigènes et paillettes, des déguisements kitsch et des photographies soigneusement mises en scènes, Olaf Breuning crée la surprise en présentant une série de dessins format A 4 réalisés au crayon. L’ensemble se déploie sur une ligne horizontale, nous faisant peu à peu découvrir la richesse et la variété d’un répertoire graphique hors du commun. Le tracé fin, consciencieux et délicat capte l’essentiel d’un imaginaire enfantin revisité par ses fantômes…
Lily van der Stokker
Depuis plus de dix ans et bien avant le regain d’engouement pour le pop art, Lily van der Stokker a imposé partout dans le monde une esthétique entre guimauve et chamalow et distille par de petites inscriptions ornées de fleurettes et d’arabesques colorées des sentences pas si politically correct que cela. (…) Par delà son inscription en porte-à -faux dans l’esthétique de l’avant-garde, qu’elle a largement contribué à déloger de son conformiste, se sont aussi les stupéfiantes conventions du langage et des stratégies médiatiques que Lily van der Stokker malmène. (Eric Troncy)
Parallèlement, Lily van der Stokker réalise une campagne de publicité pour Monoprix.