A 25 ans à peine, Vhils est déjà une star du street art.
Remarqué dès 2008 au Cans Festival à Londres, il a participé, en 2010, à la biennale de Sao Paulo et au Fame Festival en Italie.
C’est en mélangeant les techniques et les outils de création que Vhils révolutionne la technique du pochoir.
De vieux papiers, d’anciennes affiches, des surfaces murales et des panneaux de bois sont attaqués au burin, au marteau-piqueur, à l’acide, ou aux explosifs, creusant d’immenses figures dans un jeu de clair obscur.
Ses portraits soulignent ainsi un contraste fort entre le neuf et l’ancien, tout en donnant un autre visage au tissu urbain.
«C’est l’éphémère qui me captive, dit-il, les transformations et les évolutions de la ville.»
Pour sa première exposition à Paris, Vhils investit donc la galerie Magda Danysz (11e) mais également la ville, en s’emparant du mur de la ZAC Pajol (18e), éco-îlot en devenir.
— Lire l’article source sur le site de la Mairie de Paris