A Paris. Venez faire l’expérience, sous un parapluie transparent, de la pluie artificielle imaginée par Pierre Ardouvin (cour intérieure de l’Hôtel d’Albret). Sa couleur violette promet d’être hallucinante! Marchez ensuite jusqu’aux projections géantes de Christophe Domino, chef d’orchestre de Grande Image Lab (82 et 85, rue de Rome). Puis reposez-vous dans les jardins sous le Sacré Coeur, en regardant la constellation de bougies imaginée par Renaud Auguste-Dormeuil. Une reconstitution de la voûte céleste telle qu’elle sera dans cent ans. Une invitation à voguer vers un ciel que nous ne verrons jamais… Enfin, sur le terre-plein de la station Anvers, débattez autour de l’installation de Julien Berthier. Composée de mobiliers urbains (notamment un abris-bus, un parking à vélo, une poubelle, un lampadaire, une horloge, une caméra de surveillance, un horodateur), l’oeuvre interroge la mise en place de l’espace public et sa rationalisation excessive.
Voilà une idée de parcours parmi tous ceux que la Nuit Blanche rend possibles chaque année.
Notez que les lignes 14 et 12 du métro circulent toute la nuit et que des médiateurs en tenue blanche sont là pour vous guider.
En banlieue parisienne. Le réseau Tram s’associe à Nuit Blanche.
En régions. Retrouvez le programme détaillé sur http://nuitblanche.paris.fr/regions