Sasha Waltz, Nicolas Milhé, Bertrand Lamarche, Joachim Koester, Cerith Wyn Evans, Chen Zhen, Wilfredo Prieto, Erik Samakh, Thierry Dreyfus, Céleste Boursier-Mougenot, Tino Sehgal, Brice Dellsperger, Keren Cytter, Michelangelo Pistoletto, Pierre Bismuth, Hans Schabus, Ariane Michel, Fayçal Baghriche, Hee Won Lee, Louidgi Beltrame, Claire Fontaine, Lang/Baumann, Rebecca Bournigault, Claude Lévêque, Hakima el Djoudi, Ulla von Brandenburg, Caetano Dias, Zhenchen Liu, Matthieu Laurette, Ivan Pisino, Matteo Tortone, André Guedes, Louise Hervé, Chloé Maillet, Isa Melsheimer, Luca Frei, Pierre Bismuth, Alexandre Arrechea
Nuit blanche 2010
Sous la direction artistique de Martin Bethenod, la 9e Nuit Blanche est centrée sur la création plastique contemporaine dans toute la diversité de ses expressions (sculpture, vidéo, installation, performance…). Privilégiant l’adéquation entre une oeuvre, un lieu et un public, elle accueille les oeuvres d’artistes internationaux dans le respect de la pluralité des genres.
Des figures que l’on pourrait qualifier d’historiques comme Michelangelo Pistoletto côtoient des artistes confirmés (Chen Zhen, Claude Lévêque, Erik Samakh, Rirkrit Tiravanija…), mais aussi émergents (Keren Cytter, Nicolas Milhé, Claire Fontaine…) montrant les tendances les plus actuelles de l’art contemporain.
Du Cubain Wilfredo Prieto à la jeune Coréenne HeeWon Lee, du Danois Joachim Koester à Chen Zhen, Chinois basé en France de 1986 à sa mort, du Français Céleste Boursier-Mougenot au duo américano-suisse Lang/Baumann, les artistes instaurent un dialogue au-delà des frontières, le temps d’une Nuit Blanche résolument transculturelle et internationale.
Afin de favoriser la promenade et la déambulation, l’édition 2010 se structure autour de trois territoires volontairement resserrés dans un réel objectif de densité:
— L’Ouest parisien (autour du pôle Alma-Trocadéro et des grandes institutions culturelles: Palais de Tokyo, Musée Guimet, Musée d’Art moderne de la Ville de Paris…).
— Le Centre de Paris (autour des îles Saint-Louis et de la Cité et du Marais).
— L’Est parisien (autour du quartier de Belleville, au coeur d’un bouillonnement créatif soutenu par l’apparition de jeunes galeries, mais aussi par la première édition cette année de la Biennale de Belleville).
Chacune de ces zones phares de la capitale se peuple de propositions artistiques exigeantes et étonnantes qui, proches les unes des autres, constituent des parcours à l’échelle du piéton. Nuit Blanche se construit dans un rapport intime à la ville, à l’art et à la nuit.
Cette 9e édition fédère de très nombreux lieux d’art et de culture (musées, monuments, centres culturels étrangers, théâtres…) et investit également places, squares et jardins, bâtiments administratifs, centres de sport, de loisirs ou d’enseignement, hôpitaux ou lieux de culte…