Présentation
Alain Kirili
Mémoires de sculpteur
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À la fin des années soixante, Alain Kirili est lié au mouvement artistique qui s’organise autour de la revue littéraire Tel Quel. Ses premières sculptures abstraites, Les Champs de Signes, s’inspirent des travaux du sociologue Pierre Bourdieu. Il déclare : «Mon art n’est pas thoérique, il n’est pas une stratégie d’ironie ou une élaboration de concepts. Il est plutôt une extension de ma vie : je peux même dire que je fais une œuvre abstraite autobiographique.»
Par la suite, il utilise aussi bien la terre cuite, le marbre, ou le fer forgé, et s’inspire de ses voyages, comme des diverses cultures, pour réaliser des œuvres le plus souvent monumentales.
Il initie la présentation de la sculpture du XXe siècle au jardin des Tuileries telle qu’on peut la découvrir actuellement. Ces Mémoires de Sculpteur sont abondamment illustrés de photographies inédites de l’artiste au travail et de portraits réalisés lors des entretiens.
Alain Kirili vit et travaille à Paris et New York.
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