Communiqué de presse
Denis Laget
Méduses & Cie
Nouvelle série d’huiles sur papier.
«Mon mode planétaire, conclut-il, remet les choses telles qu’elles doivent être, je prouverai mon système, et ils (les astronomes) n’ont pas encore trouvé le leur.
Pour m’armer contre la réplique et les protestations savantes, j’ai recréé un vieux langage, connu dans le monde entier, mais que personne ne comprend plus».
Vincent-Arnould Havaux, cité dans Les Fous littéraires d’André Blavier.
«J’ai peint des paysages de désolation, des désastres. Des astres béants, soleils noirs portant néanmoins la lumière, établissaient une cosmogonie personnelle et mélancolique, que j’habitais en arpenteur. Il s’agissait de caprices, rêveries inquiètes gagnées sans doute par des désastres plus contemporains et triviaux. Les visions sous-marines, autres cosmogonies que je peins en ce moment, convoquent des méduses, monstres circulaires et dansants à la beauté pétrifiante. Sœurs délicates des Gorgones qui propageaient le vertige ou la mort. Cette étrange beauté urticante est celle de la peinture.» Denis Laget
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critique
Méduses et compagnie