Jean-Michel Albérola, Jean-Pierre Bourquin, Pierre Buraglio, Alex Burke, Gérarddiaz, Denis Godefroy, François Lasgi, Agathe May, Tom Phillips, Jacques Ramondot, Freddy rival, Max Schoendorff, Philippe Ségéral, Claude Viallat, Volf Wostell, Lubomir Arzt, Dale Chihuly, Monica Damian, Dragan Drobnjak, Milan Handl, Florian Lechner, Maria Lugossy, Hiromi Masuda, Remy Muratore, François Paire, Miluse Roubickova, Véronique Sablery, Burkhard Seguin, Christian Soucaret, Jozef Tomecko, François Vigorie, Udo Zembok, Yan Zoritchak, Guy Lemonnier, Patrice Cadiou, Bertrand Dorny, Jean-Claude Loubières, Michel Luhmann, Frédéric Benrath, Bernard Frize, Christiane Lovay, Roland Rollant, Christian Sorg
L’inventaire, volume 2. Acquisitions 1985
Initié en septembre 2011, «L’inventaire» consiste à dresser, à chaque rentrée de septembre, un état des lieux de la collection du Frac Haute-Normandie en présentant les œuvres du Fonds par leur numéro d’inventaire. Peu connu du public, ce numéro est pourtant déterminant puisqu’il désigne l’ordre d’entrée de chacune des œuvres dans la collection. Au-delà de son fondement juridique, ce code contribue à constituer l’histoire du Fonds.
«L’inventaire» prend pour méthode d’exposition la suite chronologique de ces numéros afin d’explorer les logiques et articulations de cette collection. Ce projet à long terme se renouvellera chaque année jusqu’à atteindre le dernier numéro. Pour son premier volet, «L’inventaire» rassemblait l’ensemble des acquisitions effectuées par le Frac durant les années 1983 et 1984, soit 148 œuvres réparties dans l’espace du Frac ainsi qu’au Musée municipal de Louviers.
Pour son deuxième volet, «L’inventaire» propose de découvrir les Å“uvres enregistrées dans le Fonds au cours de l’année 1985, soit 198 Å“uvres réparties dans l’espace du frac et à la Chapelle Saint-Julien de Petit-Quevilly, où sera présentée l’oeuvre Caillebottis [kajboti], de Guy Lemonnier.
Après deux années consacrées à la préfiguration de l’institution et à la mise en œuvre de la collection, l’année 85 marque l’arrivée du premier directeur, Yves Bourel, à la tête de l’institution normande. Ce deuxième volet met donc en avant un tournant à la fois structurel pour l’institution mais surtout esthétique pour la collection du Frac.