La Galerie Thomas Bernard est une galerie d’art contemporain située dans le Marais, à Paris. Si le lieu actuel (rue des Arquebusiers) n’existe que depuis 2015, pour autant la galerie s’inscrit dans le prolongement de Cortex Athletico, dont l’aventure a commencé en 2003, à Bordeaux. Actuellement, la Galerie Thomas Bernard organise une dizaine d’expositions par an, alternant expositions personnelles et collectives. La Galerie Thomas Bernard défend un art contemporain pluriel où se croisent installations et sculptures (Stéphanie Cherpin), performances et arts sonores (Rolf Julius), peintures et dessins (Vincent Gicquel), sculptures et espaces (Anita Molinero)… Depuis ses débuts (2003), la Galerie Thomas Bernard promeut globalement un art interdisciplinaire, intergénérationnel et international.
De Cortex Athletico (Bordeaux) Ã la Galerie Thomas Bernard (dans le Marais, Ã Paris)
L’association Cortex Athletico voit le jour en 2003, à Bordeaux. En 2006, elle adopte le statut de galerie. De 2003 à 2014, La galerie va proposer des expositions personnelles de Vittorio Santoro (« The Truth About your own Tolerance for Cruelty » 2008) ; Franck Eon (« Demnächst » 2009, « Sans titre » 2011, « Skeletons and Illusions » 2013) ; Charles Mason (« Structure and other anxieties » 2009, « Hanging together » 2011) ; Rolf Julius (« Under the Surface » 2010, « Landscapes » 2013) ; Vincent Gicquel (« Conviction » 2010)… Ou encore l’exposition collective « Méfiance » (2011), avec des Å“uvres de Katharina Fritsch, Charles Mason et Stéphanie Cherpin… autant d’artistes avec lesquels travaille encore la Galerie Thomas Bernard. En 2013, Cortex Athletico ouvre une succursale à Paris. En 2015, l’emménagement dans le Marais s’accompagne de la fermeture définitive de la galerie bordelaise.
Expositions (installation, sculpture, performance, art sonore, peinture…), émergences et foires internationales d’art contemporain
Cultivant sa présence internationale, la Galerie Thomas Bernard et ses artistes participent régulièrement à des événements comme la FIAC, Loop (Barcelone), ArtBrussels, Artissima (Turin), Armory Show (New York), ArtGenève, Drawing Now (Paris)… Lili Reynaud-Dewar (2007), le projet ChinaGirl (2009-2012) avec des vidéos de Harun Farocki, Brice Dellsperger, Isabelle Cornaro… Valère Novarina (2011)… Dans l’ensemble, la Galerie Thomas Bernard cultive l’expérimentation pluridisciplinaire. Avec l’exposition personnelle de l’artiste sonore allemand Rolf Julius (« Music for the Eyes », 2016), par exemple. Ou l’exposition de la sculpteure française émergente, Stéphanie Cherpin (« D’humeur à lâcher deux trois je t’aime », 2016). Avec près de quinze années d’expérience à son actif, la Galerie Thomas Bernard continue ainsi de promouvoir solidement les émergences. Vittorio Santoro fait, par exemple, partie des artistes contemporains nommés pour le Prix Marcel Duchamp 2017.
