La Galerie Laure Roynette est une galerie d’art contemporain, située dans le Marais, à Paris. Créée en 2011 par Laure Roynette, la Galerie Laure Roynette défend une vingtaine d’artistes, internationaux, émergents ou confirmés. La Galerie Laure Roynette organise ainsi, in situ, quatre à six expositions par an, collectives ou personnelles. Photographies, peintures, installations vidéos, sculptures, films… La diversité des pratiques est au cÅ“ur des expressions artistiques défendues par la galerie. L’étonnement et les singularités sont parties intégrantes de ce que la galerie donne à percevoir et expérimenter.
La Galerie Laure Roynette : installation, peinture, photographie, dessin, multimédia, cinéma, dispositif sonore, poésie…
Le cinéaste Damien Odoul, par exemple (Errance, 2002, L’histoire de Richard O., 2006…), cultive une certaine approche du désÅ“uvrement, de la recherche, du désir. Son exposition « Les Visions » (2016) aura ainsi enchevêtré photographies, dispositif sonore, poésie, vidéo… Le tout explorant la forêt, ses réalités et ses fantasmes. Les Å“uvres d’Anaïs de Chabaneix abordent quant à elles les imaginaires de la nature et du cosmos (Nostalgie des étoiles, 2011, Herbier I.6, 2013 – convoquant pivoine, magnolia, cèdre, aralia, eulalie, orchidée, banian de l’Inde…). Avec « Divers aspects de la ruine contemporaine » (2015), Régis Crozat conjugue dessin, photo et texte, tissant présent et constructions mémorielles. Mónica Sánchez-Robles, pour sa part, développe le projet multimédia Color of Emotions, entre esthétique et sciences cognitives. Installations, peintures, photographies, dessins, multimédia, cinéma, dispositifs sonores, poésie… Les artistes de la Galerie Laure Roynette explorent les singularités et subjectivités.
Expositions monographiques ou collectives, émergences contemporaines, YIA Art Fair…
Au fil de ses expositions, la jeune Galerie Laure Roynette s’attache à découvrir des Å“uvres en résonance avec les enjeux de la création contemporaine. Fin 2016, la Galerie Laure Roynette aura ainsi organisé « Drag & Drop », une exposition monographique de Nicolas Tourte. Soit un parcours s’articulant autour de dispositifs projectionnels atypiques (parapluie, livre…). Faisant se rencontrer technologies et dispositifs poétiques. En 2015, l’exposition de Romina De Novellis « To be, or not to be » avait déjà été l’occasion d’une mise en regard avec la vidéo Silent Life (1979) de Bill Viola. Courant 2016, la Galerie Laure Roynette a également participé à la YIA Art Fair (Young International Artists), avec des Å“uvres de Géraldine Cario, Nicolas Tourte, Mathieu Weiler, Athanasios Zagorisios et la sculpture Dandelion de Luc Lapraye.