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Les Cultures à l’œuvre. Rencontres en art

Instantanés de l’anthropologie de l’art aujourd’hui à travers 18 contributions internationales portant sur la réception et l’évaluation de l’art non occidental : influence et autonomie par rapport au goût européen, différence entre objet d’art à la pureté originelle et artisanat à visée commerciale, hybridité culturelle, etc.

— Auteurs : sous la direction de Michèle Coquet, Brigitte Derlon et Monique Jeudy-Ballini : Claude-François Baudez, Emmanuelle Ferréol, Nelson H. H. Graburn, Nathalie Heinich, Nanette Jacomijn Snoep, Margaret Jolly, Adrienne L. Kaeppler, Olivia Kindl, Robert H. Layton, Molly Lee, Claude Macherel, Marie Mauzé, Ruth B. Phillips, Anthony Alan Shelton, Charlotte Townsend-Gault
— Éditeurs : Biro éditeur ; Maison des sciences de l’homme, Paris
— Année : 2005
— Format : 17 x 24 cm
— Illustrations : nombreuses, en noir et blanc
— Pages : 416
— Langues : français, anglais
— ISBN : 2-35119-001-7 / 2-7351-1067-2
— Prix : 32 €

Présentation

Les cultures à l’œuvre est un ensemble cohérent d’articles émanant de 18 anthropologues, historiens de l’art et sociologues (dont 8 sont anglo-saxons), rendant compte à la fois des développements actuels des études anthropologiques traitant des images et de l’art occidentaux et non occidentaux, et des différences de perspectives entre les chercheurs français et leurs collègues anglais et américains.

Trois orientations principales traversent le livre :
> Plusieurs des textes présentés rapprochent, dans leur méthodologie, le type de questions posées et l’objet présenté et décrit des études habituellement menées par les historiens de l’art ;
> Cette réflexion sur les affinités qui lient de plus en plus étroitement anthropologues et historiens de l’art s’accompagne d’analyses sur les fonctions et significations autochtones des expressions artistiques. Plusieurs contributions portent ainsi sur les conditions d’émergence, la production et les critères de définition d’un art contemporain non occidental dont la vocation, de la part de ses créateurs, est d’être reconnu sur la scène internationale ;
> Enfin, une place importante est donnée à des études consacrées aux modes d’évaluation des œuvres non occidentales par des acteurs occidentaux tels que les voyageurs, les collecteurs, les collectionneurs, les institutions muséales, etc.

(Texte publié avec l’aimable autorisation des éditions — Tous droits réservés)

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