Le Souffle de Jonathan Loppin
L’exposition se compose d’un ensemble d’installations. L’espace ressemble à un hôtel modeste et désuet. Il y fera sans doute froid.
Le déroulement des pièces répond à un scénario, où la part du décor dominerait. C’est un espace habité, dont l’unique locataire est absent. Les pièces indiquent ce qui s’est produit, ce qui s’est reproduit et ne cesse de se produire.
L’exposition revient, comme le souffle, sur ce qui n’attire pas l’attention avant qu’un problème ou qu’un dysfonctionnement ne surviennent. Se pose alors la question de la latence, dans une ambiance de demi-sommeil.
Article sur l’exposition
Nous vous incitons à lire l’article rédigé par Anne Malherbe sur cette exposition en cliquant sur le lien ci-dessous.
critique
Le Souffle