Kim Ki-Duk

— Auteurs : Adrien Gombeaud, Anaid Demir, Cédric Lagandré, Catherine Capdeville-Zeng, Danièle Rivière
— Éditeur : Dis Voir
— Année : 2006
— Format : 22 x 27 cm
— Illustrations : couleurs
— Pages : 128
— Langue : français
— ISBN : 2-914-563-22-1
— Prix : 35 €

Présentation

Dès ses premiers films, Kim Ki-duk a été reconnu à travers les festivals internationaux comme Berlin (Ours d’argent du meilleur réalisateur pour Samaria), Locarno (The Coast Guard) ou Venise (Lion d’argent pour Locataires). Malgré le succès grandissant, Kim Ki-duk privilégie encore son indépendance dans sa manière de travailler : petit budget, tournage concentré et forte implication personnelle qui le mène à fabriquer lui-même décors ou accessoires.

À travers une filmographie autant injectée de sang qu’à fleur de peau, Kim Ki-duk révèle aussi les plaies encore suintantes d’une société coréenne malmenée par son histoire avec un art de la précision et une mise en scène de la souffrance qui est toute en raffinement extrême-oriental.

A l’occasion de cette année 2006 consacrée «Année de la Corée», de nombreux festival de films coréens incluant les films de Kim Ki-duk et même des festivals Kim Ki-duk vont se tenir à travers la France.

(Texte publié avec l’aimable autorisation des éditions Dis Voir — Tous droits réservés)

Les auteurs
Adrien Gombeaud, jouraliste et critique de cinéma. Membre du comité de rédaction de Positif, il collabore notamment au quotidien Les Echos et à la revue coréenne Cine21.

Anaid Demir, Critique d’art et journaliste, a rédigé de nombreux textes de catalogues d’exposition et a enseigné. Depuis 2001, elle fiat partie de la rédaction du Journal des Arts et collabore au magazine Jalouse.

Cédric Lagandré, agrégé de philosophie. A publié autour du rapport de la parole à l’image «L’inspiration des Grecs» à L’Harmattan. Il participe à la revue Mouvement.

Catherine Capdeville-Zeng, anthropologue et spécialiste de la chine où elle a résidé une dizaine d’année.

Danièle Rivière, éditrice et cinéaste.