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James Lee Byars. Life, Love, and Death

Monographie présentant l’œuvre protéiforme de l’Américain James Lee Byars. Oscillant entre art minimal et art conceptuel, influencé par le Japon, cet inclassable artiste crée tour à tour des dessins sculptures, des vêtements performance, des installations mausolée, etc. Trois essais évoquent son parcours et son travail selon différents angles.

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Présentation

Collectif

James Lee Byars. Life, Love, and Death

Cet ouvrage présente les œuvres exposées à l’occasion de l’exposition itinérante qui a eu lieu à la Schirn Kunsthalle (Francfort) puis au musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg. C’était la première rétrospective en France depuis le décès de l’artiste (1932–1997).

Apparu sur la scène artistique internationale dans les années 1970, James Lee Byars s’est signalé d’emblée par l’originalité de sa démarche à la croisée d’influences diverses (art minimal, art conceptuel, performance charismatique, esthétique japonisante, goût prononcé pour l’allégorie) et par l’hybridité de ses propositions artistiques : dessins sculptures, sculptures minimales anthropomorphes, vêtements — performances, objets allégoriques, films réduits à un photogramme, installation — mausolée.

(Texte publié avec l’aimable autorisation des éditions des Musées de Strasbourg — Tous droits réservés)

L’artiste
James Lee Byars, né en 1932 à Detroit, est mort en 1997 au Caire.

Les auteurs
Viola Michely est critique d’art.
Klaus Ottmann est commissaire de cette exposition pour le musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg.
Martina Weinhart est commissaire de cette exposition pour la Schirn Kunsthalle de Francfort.

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