Communiqué de presse
Herman Diephuis
Hors séries #51 : Herman Diephuis, du musée Fabre aux Ursulines, un parcours décadré
20h30
Musée Fabre
Couvent des Ursulines/CCN de Montpellier
Pour ses deux spectacles D’après J.-C. (2004) et Dalila et Samson, par exemple (2005), le chorégraphe Herman Diephuis s’est inspiré de la peinture ancienne, de la Renaissance au Baroque.
Pour cette présentation au Musée Fabre, il proposera, accompagné de cinq danseurs, une mise en mouvement de tableaux choisis parmi la collection du Musée. Une approche de la peinture qui s’amuse de voir comment les images peuvent s’incarner ?
Il s’agit d’un regard libre sur les tableaux, concentré sur l’enchaînement des gestes et postures représentés. Cette approche crée une distance avec les références contextuelles et échappe à une volonté de reconstitution, pour donner peut-être une autre lecture des œuvres.
Après s’être appropriés les tableaux dans l’intimité des salles, ils sortiront du musée, pour confronter ces images à l’imprévu de l’extérieur, où l’espace urbain devient le cadre du tableau.
Et la soirée se terminera au Centre chorégraphique pour La cène manquante « réalisée avec un groupe d’ amateurs. Le chorégraphe donne à voir une saisissante liturgie mêlant sacré et profane, représentations du passé et irruption du présent (…), gestes codifiés et explosion libératrice. Le langage du corps au service d’une nouvelle “scène primitive” ».
En collaboration avec le musée Fabre Montpellier agglomération
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