Communiqué de presse
Guy Richards Smit
Here Comes Maxi…
G-module présente la première exposition individuelle en France d’une star émergente new yorkaise, Guy Richards Smit. Peintre! Musicien! Artiste vidéo! Interprète!
Dans Here Comes Maxi…, Smit met en relation des personnalités en apparence incongrues; celles de l’exhibitionniste egomaniaque et de l’artiste sensible et contemplatif. Il évoque l’agonie de l’hédoniste corrompu, à la fois dans sa dynamique puissance et dans sa fragilité. Les aquarelles de Smit dépeignent des moments étranges, des luttes de pouvoir et des déceptions. Bien qu’elles soient dépravées, leurs couleurs et leur style est contrôlé par une main de maître, et elles parviennent à convoyer ce que les hommes partagent dans leur humanité.
En bas, le drame continue… Les draps de soie de l’alter ego de Smit, Maxi Geil, ont été transportés dans le sous-sol de g-module. On peut s’y allonger pour regarder un programme musical télévisé suisse dans lequel le groupe de Smit, Maxi Geil!& PlayColt, a récemment fait une apparition (ils faisaient une tournée de sept mois en Europe car ils avaient été exilés pour avoir fait des remarques inopportunes sur les troupes en Irak au cours d’une cérémonie des «Grammy Awards»). On peut ainsi y voir trois des vidéos du groupe qui évoquent l’excitation autour du groupe et le culte de la personnalité autour de Maxi – un monde où même le ballet ne trouve pertinence qu’à travers Maxi Geil et où la paranoïa américaine contribue au sombre rêve de Maxi dans Artist’s Lament (Lamentation de l’artiste).