— Auteurs : Oliver Kaeppelin, Beate Reifenscheid, Éric Suchère, Jean-Charles Vergne
— Éditeurs : Frac Auvergne, Clermont-Ferrand / Le 19, Montbéliard / Musée de l’abbaye Sainte-Croix, Les Sables d’Olonne / Ludwig Museum im Deutschherrenhaus, Coblence
— Année : 2004
— Format : 16 x 22 cm
— Illustrations : nombreuses, en couleurs et en noir et blanc
— Pages : 130
— Langues : français, allemand
— ISBN : 2-913323-90-1
— Prix : 20 €
Présentation
Depuis sa première exposition à Bâle en 1985, Gilgian Gelzer mène une réflexion transversale prenant largement appui sur les passages possibles entre la collecte photographique d’éléments du réel parfois anodins (paysages sans particulière qualité, détails urbains, objets…) et la résonance formelle de ces éléments, modélisés, filtrés par les autres moyens linguistiques que sont la peinture et le dessin. Mais si les trois médiums se combinent et s’associent, ils ne doivent en aucun cas être envisagés comme les étapes successives d’une recherche dont l’aboutissement serait le tableau peint. Ainsi, le dessin ne constitue pas le projet préliminaire de la peinture, et la photographie n’a pas pour unique vertu de proposer à l’artiste une base formelle de départ.
(Texte publié avec l’aimable autorisation du Frac Auvergne — Tous droits réservés)
L’artiste
Gilgian Gelzer est né en 1951 à Berne. Il vit et travaille à Paris.
Les auteurs
Oliver Kaeppelin est écrivain et critique d’art.
Beate Reifenscheid est directrice du Ludwig Museum im Deutschherrenhaus à Coblence.
Éric Suchère, né en 1967, est poète et critique d’art. Il enseigne à l’école régionale des beaux-arts de Saint-Etienne et collabore à Artpress et à CCP.
Jean-Charles Vergne est directeur du Frac Auvergne.
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