Sophie Bocquet, Ashley Chen, Philip Connaughton, Alexandra Damasse, Damiano Foà , Lorenzo Gatto, Carlo Locatelli, Laura Simi, Tamara Stuart Ewing…
Festival Signes de Printemps
Dimanche 22 mars, 16h (en partenariat avec le festival Ici&Demain)
— Les Sœurs Souches de Claude Martin et Nouch Papazian (20 min)
Annie surprend Jacquie en train de dépenser l’argent des courses dans des jeux de grattage. S’engage alors un combat dans lequel tourbillonnent pêle-mêle l’histoire familiale, la relation tourmentée, des visions du futur contradictoires — et des corps en action au potentiel insoupçonné. Qui convaincra l’autre? Ka Tchang! Un épisode des Sœurs Souche. (20min)
— A quoi tu joues? d’Alexandra Damasse (30 min)
Une course à toute allure, un jeu qui dégénère, un secret partagé, des mains qui s’étreignent. De la cruauté à l’extrême tendresse, A quoi tu joues? présente un moment d’enfance, nous plonge dans une cour de récréation.
Jeudi 26, vendredi 27 mars, 15h et 19h30
— «Spectacles Sauvages»
Le studio Le Regard du Cygne invite des artistes jeunes ou confirmés à faire le choix de la mise en danger, de la prise de risque artistique, de l’expérimentation. Avec des formes courtes et des extraits, leur talent s’expose sur notre plateau pendant ces deux jours. Professionnels, public, artistes se retrouvent et échangent lors de ces rencontres ludiques et chorégraphiques.
Jeudi 26 mars: Déplacement de Mithkal Alzghair, Snapshot de Nathalie Cornille, Autopsie d’une connasse de Sabine Rivière, Meute de Delphine Mimpontel et Michel Titin-Schnaider.
Vendredi 27 mars: Gervaise d’Odile Cougoule, À la fin de la pièce, au noir plateau, pas avant de Jeremy Alberge et Sophie Lèbre, Ruines de Sylvère Lamotte, Les Corps Mous#1 de Vincent Lacoste, SPM2 de Marion Gregori/RIDC, A nos tours de mains de Morgane Stephan et Cléa Hourant/RIDC.
Mardi 31 mars, 14h30
— Jungle Speed de Sophie Bocquet (45 min)
Jungle Speed ou «perdre est une question de méthode» traite du jeu comme espace intime et collectif, espace des possibles. Le jeu devient un monde intermédiaire, un entre-deux habité par les désirs et les peurs, où tout ce qui peut s’avérer grandiose peut tourner au ridicule, ou inversement. Sorte de quête commune de la condition humaine, dans laquelle les trois individus jonglent avec la vie et se perfectionnent dans l’art de survivre.
Jeudi 2, vendredi 3 avril, 20h20
— The Wind and me de Carlo Locatelli (30 min)
«The wind and me jaillit d’un désir intuitif d’explorer et de revisiter, avec la danse et le texte, une partie de mon parcours personnel. Ce dernier est lié, d’une part, à mon identité corporelle intime façonnée par la danse et d’autre part, est ancré dans l’époque que j’ai traversée et que je vis au présent. The wind, c’est l’énergie intime du corps et dans le même temps, le vent de l’histoire avec les repères qui m’ont nourri, qui m’ont traversé et transformé.» C. L
— Erratic de Tamara Stuart Ewing (30 min)
Erratic est une traversée, espace fait de lumière et d’obscurité. La danse s’y déploie littéralement. Mue par des énergies discontinues, elle fixe ce qui s’échappe et laisse échapper ce qui se fige. C’est une exploration sensible et délicate du jeu de la mémoire et de l’identité.
Vendredi 10, samedi 11 avril, 20h20
— Whack!! d’Ashley Chen et Philip Connaughton (1h)
Whack!! traite des causes et des conséquences de deux corps en collision dans l’espace. De l’impact physique violent à une douce résistance, Whack!! emmène le spectateur dans un voyage abstrait, où le corps en mouvement est un tremplin pour comprendre l’endurance et la capacité de l’homme à faire face à n’importe quel obstacle.
Jeudi 16, vendredi 17 avril, 20h20
— Shut up! de Laura Simi
Shut up! est une invitation réciproque de Laura Simi et Jean-Noël Françoise à se réunir sur un travail autour du son et du mouvement. Ils interrogent notamment l’autoritarisme de l’univers sonore, qui nous entoure au quotidien ainsi que la force émotionnelle et physique du son et ses répercussions sur l’esprit et le corps.
— Titre Inachevé de Damiano Foà (20 min)
La chorégraphie est conçue par une série de connexions décidées par le danseur-artisan. Des projecteurs de musiques et de textes occupent la scène. Un système de caméras vidéo capte les déplacements du corps du danseur, qui interagit avec ces caméras et déclenche tel ou tel autre texte, telle ou telle autre musique, telle ou telle autre lumière.
Tout le long du festival: Exposition de Å“uvres de Lorenzo Gatto, photographe italien.
(vernissage le 22 mars, à 15h, décrochage le 17 avril, à 19h)
Le photographe italien Lorenzo Gatto invite les danseurs à investir leur ville, Palerme. Tout au long du festival, en association avec À La Taille-Danseurs à la fin du temps, le studio Le Regard du Cygne présente ses œuvres.