Jean-Claude Gallotta
Daphnis é Chloé et Faut qu’je danse!
Horaires : 20h30. A 15h le samedi 30 avril.
Faut qu’je danse! (création, prologue à Daphnis é Chloé)
― Chorégraphié et interprété par : Jean-Claude Gallotta
― Assistante à la chorégraphie : Mathilde Altaraz
― Musique originale : Strigall
― Musique : Strigall, création originale, Henry Torgue, extrait des Doigts de paille
― Costumes : Jacques Schiotto et Marion Mercier
― Dramaturgie : Claude-Henri Buffard
Daphnis é Chloé (re-création)
― Chorégraphie : Jean-Claude Gallotta
― Assistante à la chorégraphie : Mathilde Altaraz
― Musique et enregistrement : Henry Torgue PIANO
― Costumes : Jacques Schiotto et Marion Mercier
― D’après Jean-Yves Langlais
― Dramaturgie : Claude-Henri Buffard
― Avec : distribution en cours
Un cri, une urgence ! Le chorégraphe Jean-Claude Gallotta n’a jamais été du genre à cacher ses sentiments, ses émotions. Lorsqu’il faut y aller, dire tout haut ce qu’on murmure, foncer dans le tas, Gallotta est là . En première ligne, il s’offre un solo intitulé Faut qu’je danse! et c’est comme ça. Que dire de plus, sinon souligner la beauté du geste, la force de l’élan que rien ni personne ne peut arrêter. Ce nouveau solo, vingt-huit ans après Hommage à Yves P. (1983), introduit la reprise par trois jeunes interprètes d’une de ses pièces-phares, Daphnis é Chloé, dansée en 1982 par Mathilde Altaraz, Pascal Gravat et Gallotta lui-même. Pour revivre sans nostalgie les circonstances de cette création autour de la fable de Chloé, épouse du jeune berger Daphnis, enlevée par des pirates, Gallotta rassemble ses souvenirs de l’époque, les critiques aussi dont celle de l’écrivain Hervé Guibert qui intitula son papier Racheter la mort des gestes. C’est ce que compte faire en premier Gallotta, et peu importe le prix à payer.
critique
Faut qu’je danse! et Daphnis é Chloé