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Énsb-a, n’est-ce pas ?

07 Jan - 02 Fév 2003

Le domaine de l’estampe interrogé par des œuvres où l’estampe traditionnelle (lithographie, gravure, etc.) rencontre l’impression numérique autour de l’idée de «pièce unique».

Communiqué de presse
Sam Bern, Zoé Figeac, Estelle Hanania, Clementine Melois, Marine Pagès, Adrien Pasternak, Amanda Riffo, Nièves Salzmann, Mathieu Savignac, Joseph Seroussi, Charlotte Sjostrand,  Johana Vichot
Énsb-a, n’est-ce pas ?

«Énsb-a, n’est-ce pas?» Lithographies, gravures, pièces uniques… des étudiants de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris.

Les étudiants de l’Énsba expérimentent tous azimuts, toutes techniques d’impressions confondues. Ainsi, cette exposition passe de la lithographie à la gravure, de la sérigraphie à la photographie, de l’alugraphie à la photogravure, jusqu’aux impressions numériques… pour en arriver «à l’œuvre unique». De l’œuvre unique aux multiples, ces confrontations emmèneront les étudiants de l’Énsba à démontrer le rôle actuel de l’estampe dans le processus d’élaboration d’un projet.
Les divers champs de recherche et de création de l’Énsba étant à la pointe des techniques d’impressions, ils sont portés à s’interroger sur ce qui différencie aujourd’hui dans la pratique une estampe traditionnelle (lithographie, gravure…) d’une impression numérique.

Commissaire
Adrien Pasternak

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