Axé sur la crise du photojournalisme, Aurélie Filippetti s’éloigne rapidement de sujet central de l’interview pour évoquer la crise de la presse ainsi que son évolution à l’heure du numérique.
«Je suis bien consciente que ce n’est pas facile aujourd’hui pour les entreprises de presse. Mais on doit réussir à les convaincre que c’est par la qualité que la presse peut aujourd’hui se refaire […]. Si la presse abandonne la qualité, il n’y aura plus de différence entre les journaux, les magazines payants et la presse gratuite, notamment sur le Net où rien n’est éditorialisé» (Aurélie Filippetti).
Les propos de la ministre de la culture ont suscité de vives réactions chez les journalistes. Le Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (Spiil), a réagi à l’interview dans un communiqué publié jeudi 30 août 2012.
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l’nterview d’Aurélie Filippetti
le communiqué du Spiil
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