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Art et mutations. Les nouvelles relations esthétiques

Actes d’un séminaire interarts tenu à Paris entre 2002 et 2003. 17 contributions pour prouver l’invalidité des thèses de la mort de l’art et de la fin de l’esthétique, en démontrant qu’il s’agit avant tout d’une crise liée à l’incapacité du discours théorique à s’adapter à l’évolution des arts dans toute leur diversité et toute leur actualité.

— Auteurs : sous la direction de Marc Jimenez : Jacques Amblard, Claude Amey, Valérie Arrault, Alain Bonardi, Éliane Chiron, Frédéric Drouillon, Françoise Escal, Christine Esclapez, Claire Fagnart, Micheline Girard, Bernard Lafargue, Suzanne Liandrat-Guigues, Julien Milly, Jacques Morizot, Danièle Pistone, Francis Rousseaux, Pierre Sauvanet, Anne Sedes, Michel Serceau
— Éditeur : Klincksieck, Paris
— Collection : L’université des arts
— Année : 2004
— Format : 14,50 x 24 cm
— Illustrations : aucune
— Pages : 250
— Langue : français
— ISBN : 2-252-03492-0
— Prix : 18 €

Présentation

Sous le titre Art et mutations. Les nouvelles relations esthétiques, ce volume de « l’Université des arts » entend démontrer que, contrairement au diagnostic du philosophe américain Arthur Danto, l’art actuel est loin d’avoir achevé « sa mission conceptuelle ».

La prétendue crise de l’art contemporain fut surtout une crise du discours esthétique et philosophique, incapable de prendre en charge la diversité des pratiques contemporaines et les liens multiples que celles-ci entretiennent désormais, de façon concrète, non seulement avec la vie quotidienne mais aussi avec la science et la technologie.

À ces relations inédites correspondent de nouveaux enjeux sociaux, éthiques et politiques qu’il convenait d’évoquer en référence à des œuvres et à des pratiques artistiques récentes.

(Texte publié avec l’aimable autorisation des éditions Klincksieck)

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