— Directeur de la publication : Alin Avila
— Parution : printemps 2004
— Format : 21 x 28 cm
— Illustrations : nombreuses, en couleurs et en noir et blanc
— Pages : 176
— Langue : français
— ISSN : 1633-3543
— Prix : 20 €
Présentation
En quoi le cinéma radical s’intéresse à la matérialité-même de la peinture (Christian Lebrat) ?
En quoi l’univers des films peut-il être l’objet d’un cinéma d’exposition (Jean-Christophe Royoux) ? Comment Jean-Pierre Le Boulc’h aura retrouvé raison de peindre en filmant ? Comment Ivo Bonacorsi utilise les mots et la chair des pellicules pour constituer une œuvre ?
Daniel Authouart, Jacques Monory, et quelques autres le disent sans se cacher : leur imaginaire s’est forgé à la vision des films américains…
Peinture ou cinéma : qui de l’un ou de l’autre est en dette ?
Jacques Rancière, Michel Ciment, Jean Douchet, Enrico Ghezzi, du côté de la critique, Jean-Claude Guiguet, Otar Iosseliani, Charlie Van Damme, Pascal Aubier, du côté des films, et Joël Brisse, Bernard Dufour… témoignent.
Danièle Huillet et Jean-Marie Straub nous parlent de leur amour pour Cézanne, Enki Bilal plaide pour un cinéma de l’imaginaire, Charles Matton survole son œuvre et Raoul Sangla toute une époque.
(Texte publié avec l’aimable autorisation d’Arearevue)s()