C’est par presse interposée que Robert Rubin et Alain Seban règlent leurs comptes.
Oui, les deux hommes ne s’entendent pas, et c’est un euphémisme.
Qui a ouvert les hostilités?
L’homme d’affaires et collectionneur Robert Rubin. Il a critiqué les choix d’Alain Seban quant à la gestion du Centre Pompidou. Des choix qui auraient notamment conduit à l’exposition «Paris-Delhi-Bombay» (25 mai-. 19 sept. 2011), que l’Américain Robert Rubin juge onéreuse et «médiocre».
Quelques jours plus tard…
Alain Seban riposte en insistant, dans le même journal, sur «la faiblesse des résultats» de la Fondation Centre Pompidou, chargée d’acquérir des œuvres et d’encourager les dons au musée.
Mais nous retiendrons surtout ce violent uppercut verbal: «Puisque M. Rubin déteste à ce point le Centre Pompidou, il n’a qu’une chose à faire: démissionner».
La suite dans un prochain numéro du Monde…
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